La chambre des hôtes indésirables

J’ai atteint mon but. J’ai réveillé le désir d’Alakian, à tel point qu’il refuse une proie offerte sur un plateau d’argent, prête à déguster, pour s’occuper de moi. Sa main qui se ballade, pour finalement me griffer les lèvres (mais lesquelles?…) décuple mes sens. Avec mon ongle de métal, je récupère quelques gouttes de mon sang, que je dépose sur la langue d’Alakian. Ce faisant, mon autre main part à l’exploration de l’entre jambe du mâle à l’affût.

Sentant sous mes doigts ce que je cherchais en tâtonnant volontairement, je plaque la paume sur le membre convoité. Je le tiens, il est à moi. Cette position de force n’étant pas pour me déplaire, je commence avec lui le jeu testé sur Myky. Quelques effleurements, une arabesque plus appuyée, et le voilà lui aussi entaillé. Je descends plus encore, et remplace ma main chaleureuse par la pointe de l’ongle. Je reprends appui sur mes jambes, fière et envoûtante.

J’entends un grand bruit. A peine le temps de me retourner, et je vois Myky debout, Kweecly affalé au sol, contre un mur. Pas le temps d’éviter le projectile qu’elle m’envoie, je le reçois en pleine tête. Pour qui se prend-elle pour venir me déranger ainsi? J’aurai pu empaler la virilité de mon étalon de mon instrument…

La colère m’envahit, je sens mes forces qui se décuplent. Elle n’aurait pas dû agir ainsi…

Je ne voulais pas t’abîmer, mais là, ça en est trop!

Je l’attrape par les cheveux, et la tire vers le lit. Le réflexe féminin voulant me faire lâcher prise, elle ne me gène pas vraiment dans mes mouvements. Je la jette sur le lit, l’attache à nouveau, plus serré, plus fort. Je bloque sa tête, et ajoute un peu plus de piment à la scène, grâce à un petit poignard à lame courte. Je lui ouvre la bouche, dispose le coutelas pointe en bas, et referme sa mâchoire sur la lame avec autorité.

A toi de choisir… Débat toi, essaie de crier, et la lame viendra trancher ta gorge, de l’intérieur.

Enfin, elle ne nous dérangera plus… Je retourne vers Alakian, reprenant où je m’étais arrêtée.

Tu es délicieusement cruelle, Sheri… Mais il ne faut pas abîmer ta sœur…

Je me glisse vers le lit, rampe sur le corps de la sorcière, frôle sa peau. J’enlève doucement le poignard et le jète par terre.
Je passe ma langue sur son visage, renifle son odeur de peur…

Petite fille apeurée… tu sens bon… ta peau est si douce… on y mordrait.

Je plante mes dents acérées dans son cou et je bois son sang… je retire mes crocs de sa chair, du sang s’écoule des deux petites plaies.
Je retourne vers son visage, je veux voir son regard, je veux y entrevoir son effroi…

Tu m’appartiens désormais…

Mon ongle entame la peau fragile de mon poignet, du sang s’en écoule. Je le fais boire à la sorcière… elle est mienne.

Je défais les liens qui l’attache au lit, plus rien ne pourra la séparer de nous, elle appartient à la meute et elle le comprendra bientôt.

Elle reste prostrée. Je rejoins Shéri, un autre jeu m’attend, cette fois elle ne me repoussera pas.

Allons-nous en, laissons là se reposer, kweecly veillera sur elle.

N’est-ce pas kweecly !




(suite dans la petite pièce)

"Tu m’appartiens désormais…" Voila il l'avait dit, il l'avait fait.. Quelle sensation étrange de sentir sa peau, sa langue sur mon visage, ses crocs dans mon cou si fragile... Il boit mon sang, je suis parcourue d'un intense frisons, mélange de peur de l'inconnu et de plaisir intense...

La colère petit a petit s'apaise, que m'arrive t il, je comprend pas... Il entaille son poignet, fait couler quelques gouttes de sang sur mes lèvres, je les délecte tout d'abord avec le bout de ma langue avant d'attraper sa main que je rapproche de mes lèvres pour en avoir plus, toujours plus...

Il se retire lentement et par avec ma "soeur"... Ma soeur quel drôle de mot pour cette femme qui m'a torturer... Je ne l'oublierai pas... Kweecly assis dans un coin de la pièce surveille ma transformation..

D'un coup je sens mon coeur s'affoler, mon souffle deviens court, je n'arrive plus a respirer, j'ai peur...

Je me tortille comme un vers, mes mains viennent a ma gorge voulant m'aider a respirer puis plus rien... Je me sens hors de mon corps, enfin je vais être en paix, depuis si longtemps j'attendais se moment... Mon âme s'envole mais mon esprit retourne dans se corps meurtri comme s'il m'était devenue interdit de le quitter...

J'essaie de sentir mon coeur battre... rien... J'ouvre doucement les yeux... Ma vision des choses a changer, je sens mon regard plus perçant que jamais. Je m'assois sur le bord du lit, j'ai l'impression que chaque mouvement que je fais est plus fluide, comme surhumain..

Mes plaies se sont refermées, Je jette un regard vers Kweecly...

-J'ai faim...

Elle regarde Kweecly qui etait bien occuper a regarder quelque affiche de femmes denudées (bah quoi il a bien trouver mon string alors on peut bien trouver ca :p ) et prit une voix seche et glacial..

-Oh le machin vert moi j'vais manger libre a toi de me suivre... ou non

[Hrp^: petite piece bah quoi tout le mond ey va j'y vais :p ]

Le gobelin emmerge d'une torpeur que lui seul est capable d'atteindre... Plus grand qu'un moine tibetin, il atteint sans difficulté le sommeil eveiller... yeux grands ouverts!!!
Il s'agit d'une technique developpé sur les banc des ecoles gobelines qui lui permettait a cet époque de dormir durant les cours tout en ayant l'air bien eveiller!

"Gnééé??? Tout seul... Kweecly est tout seul... Vilain Vampires!!! Ils ont abandonné Kweecly!"

Le gobelin se met en marche... traçcant à l'odeur cette meute d'hormones froides...

[HRP] La suite... des que je retrouve Alakian! [/HRP]

Hombeline, à terre, ses bras enserrant son ventre légèrement renflé, geignant de douleur. Regard vitreux, peau livide, elle semble si loin...

Souffre maman, souffre. Car bientôt ta délivrance arrivera, mais l’enfer te chatiera pour avoir forniquer en dehors des liens sacrés du mariage. Et moi... et moi... Tu m’observeras de la haut, enchaînée aux démons, et tu pleureras des larmes de sang sur l’enfant infernale que tu tu auras engendrée. Souffre maman, souffre..... j’aime ta souffrance, elle me nourrit, je m’en délecte, elle me rend plus forte.

Hombeline se contorsionne sur le sol, bourre son ventre de coup de poing, crie des prières... Pas assez forte ? trop faible ? nous ne saurons jamais ce qui s’est passé dans sa tête. Subitement elle arrête de se flageller, son regard reprend vie mais une lueur étrangère y brille. Elle se relève, le visage froid, la bouche pincée.

Maman, si faible, si lâche. Merci de m’offrir le contrôle de ton corps. Un corps si beau, si tendre, si appétissant. Un corps qui va me servir de jouet pour m’amuser, attirer, appater mes futures proies. Pour ce cadeau que tu me fais, je t’aime Maman... mais ça ne changera pas ton destin... à la fin tu mourras des propres mains de ta fille !

Hombeline s’époussette, son visage s’illumine d’un rictus malsain, pervers. Elle sait où elle doit aller... quoi faire...

En avant maman.... papa nous attends !