L’arrivée des invités

Sursautant légèrement en ressentant soudainnement la présence de l'inconnu, il se retourna pour le détailler, avant d'entendre sa question...

Euh... Je suis vraiment désolé, mais je ne sais pas du tout où nous sommes... Je cherches un village que je ne trouves pas... Hum... Si vous le souhaitez, nous pourrions chercher ensemble... Serait pourrait être plus agréable, non? Je me nommes Sun Solo, messire...? dit-il en souriant et en tendant la main...

*Olala! Les deux dans la même bâtisse?!*

Le jeune homme se cogna le front, si Hébé a vu ce qu'il a fait, ce n'est même pas la peine d'imaginait la colère qu'elle a pour lui... Et pour Nini.

"Bon, en tant que bon samaritain, je peux évidement rien faire... Allez... Courage Belial, Hébé est pas non plus... Si, tout compte fait si... Pire qu'une tornade... La tornade au moins te laisse le temps de partir..."

Il soupira, chose stupide... Il partit en direction de la taverne, de peur d'un affrontement peu commun chez les dames, surtout entre deux vampires.

[Suivant: La Taverne]

Ghort arrive toujours boitillant, toujours bossu et toujours son air soucieux qui vrille son regard…
Il se protège de la tempête à l’aide d’une grande cape qui lui recouvre la presque intégralité du corps.

Ve.. vêêêênez vi… vite ! A.. a… à la ta.. ta.. taverne !

Il attend dans le vent et la neige, guettant l’arrivée d’autres invités..


Hrp / désolé pour l’intervention tardive.

Il écoute attentivement cet homme, ce Sun Solo... Il regarde sa main, dubitativement. Mais ne la sers pas...

Ankoku no Gobosei... C'est ainsi que je m'appeles...
Et... Je veux bien faire la route avec vous...

Il regardes au loin, droit devant eux...

Il me semble que nous arrivons bientôt... Dépéchons...

Il se mit alors à avancer sans trop préter attention à ce Sun Solo, de manière très rapide, et ce en semblant ne pas toucher le sol...

Bon ben en avant alors... dit-il en soupirant, voyant son nouveau... Compagnon? S'élancer sans l'attendre...

*S'est dans ce genre de cas qu'on sent qu'on compte, tiens...

En avant Epona!

Il se reconcentra et lança sa monture au galop...

Peu après, ils arrivèrent devant une taverne...

Sun mit le pied à terre, conduisit Epona dans une écurie, et se dirigeat vers la porte de la taverne, en attendant son compagnon...

(j'espère que ça te dérange pas la manière dont j'ai accéléré les choses? Vu qu'il semble qu'il failles aller à la taverne, que je te connais pas et au vu des réactions de ton perso ^^"
Si ça gène, tu me le dis et j'éditerais)

[Etape suivante: la Taverne?]

Le vieux mage se réveilla. Longtemps, très longtemps il avait sombré dans son sommeil. Tant de fatigue, de lassitude…

Il avait perdus tant de choses… Et perdre sa fiancée éternelle avait été la goutte d’eau faisant déborder son océan de sagesse.

Ses parents l’éveillèrent. De nouveaux aventuriers arrivaient, pour recevoir des sourires, des compliments, de l’aide et de l’amitié.

Alors qu’il était en mission de soins sur les terres glacés de Dusso, à guérir un suppôt maléfique, un oiseau au plumage flamboyant se posa à quelques pas. L’ogre, encore échaudé par son dernier combat, s’emporta et assomma Genesis.

Il s’éveilla, sans doute quelques minutes plus tard. L’oiseau était toujours présent, mais sa bourse, elle…

Pfffffffff

Peu lui importait, il avait quand même réussis à aider quelqu’un. Il se tourna vers l’oiseau :

Bon, toi, que veux-tu mon ami ?

L’oiseau déposa un petit papier à ses pieds, puis s’envola vers le Soleil. Il lut à voix haute, une écriture soignée :

Mon Village t’attend.
Il y aura ce que tu cherches, et ce que tu y amèneras.
Nous t’attendons.
Pour nous rejoindre, marche vers les montagnes, et continus sans t’arrêter.
Le Village te trouvera.

Une fois de plus, un personnage mystérieux l’appelait. Que faire ? Il prit la décision d’y aller, poussé par sa curiosité. Une sale maladie… Il ne prépara pas ses affaires, car affaires il n’y avaient plus. Il partit, en laissant un petit mot sur la table de la cuisine, à côté de son gâteau d’anniversaire. Un gâteau à la bougie, son préféré.

De longs jours passèrent. Il ne cessa de marcher, sans répit. Ses sorts lui permirent de tenir debout, sans dormir. Cela l’épuisait, mais il ne voulait pas arriver trop en retard. Les montagnes, les forêts de pins, et les jours défilèrent. La fatigue s’accumula elle aussi. Sa magie faiblissait. Il se faisait trop vieux pour de si longues ballades. Il lui fallut 15 jours pour tomber. Il sombra, pour rejoindre le royaume du roi des songes, Morphée.

L’aube le réveilla. Combien de jours avait-il dormit ? Cette question fut vite oubliée. Il vit en face de lui, un village sous la neige. La tempête battait son plein, il n'y voyait pas à 10 cm de son propre nez. Le vieux bonhomme s’appuyât sur son bâton, se releva.

Ouf, il était temps. Où dois-je aller maintenant ? Ohé, il y a quelqu’un ?

* Après deux minutes *

On dirait qu’il n’y a personne. Bon, on va bien voir si mes pouvoirs marchent toujours.

Le mage se concentra, pour repérer la source de chaleur la plus forte du village. Il en sentit une très grande, en bas d’une maison. Il prononça quelques mots, et se volatilisa mystérieusement.


[Suite dans la Partie Hôtel – Les Thermes]

(non non, ça me déranges pas, je comptais entrer sans t'attendre, m'enfin, j'entre, t'auras qu'à faire la suite)

Ankoku no Gobosei arriva un peu de temps après Sun... Il voyait ce dernier l'attendre devant la porte de la taverne...

Il passa devant lui, sans un sourire, et lui jeta un coup d'oeil froid, ses pupilles rouges sang semblant le sonder...

Entrons...

De sa main recouverte par l'armature de métal, finit par de longues griffes très tranchantes, il poussa la porte, montrant par la même que malgré l'objet, il pouvait l'utiliser sans soucis... Comme si sa main n'était pas recouverte...

[Suite dans la Taverne]

Où suis je? Les rues sont désertes, j'ai voyagé si longtemps que j'ai du finir la route à pied, rendant sa liberté à ma monture, épuisée par l'ascension des montagnes.
Quelle idée de suivre un plan trouvé par terre, sans savoir vers quel piège il mène...

J'espère que mon petit Mandron aura retrouvé le chemin de la grande Cité blanche... Oui, j'en suis sure. Il est capable de sentir son orge préférée à des lieux, mon joli bourricot!

Quels sont ces bruits étranges? Pourquoi n'y a t'il personne dans les rues? Ce village est pourtant joli...
Une courte hésitation, et je décide de suivre un chemin orné de plantes colorées et odorantes. Je visiterai les bâtiments à la recherche de vivants plus tard, j'ai envie de cueillir quelques fleurs d'abord!


[Suite dans les jardins]

ZZzzzzzzzzzzz !

Les ailes de la petite démone battent l'air rapidement. Elle fait un tour dans un sens. Un tour dans l'autre sens... Elle a parcouru des kilomètres pendant des heures, dans ce tout petit verre. Ce satané pirate l'a une nouvelle fois attrapée et enfermée. Il croit trop aux contes de fées et espère pouvoir récupérer de la poussière magique simplement en l'agitant et ainsi voler...

"Sauf que ma poussière à moi... elle est juste sale !" grommelle JoliCoeur.

Epuisée, elle se laisse tomber au sol. C'est qu'elle va finir par manquer d'air à ce rythme. Au moment où elle croit tout espoir envolé, elle entend un membre de l'équipage entrer dans la chambre du Capitaine.

"Capitaine ? C'est moi monsieur Mouche ! Vous êtes là ?"

JoliCoeur n'attend pas son reste et profite de l'occasion. Elle toque contre la paroi du verre pour attirer l'attention du stupide marin Mouche et commence à se pavaner pour lui faire profiter de ses petits charmes rebondis. L'histoire ne raconte pas quelle fut la réaction de Mouche à cet instant précis. La petite démone tombe soudainement, le souffle coupé, le corps raide. Le neurone de Mouche, qu'il a ni fort long ni fort gros, lui dicte alors de soulever le verre. JoliCoeur profite de cet instant pour s'échapper de l'emprise du capitaine et de son équipage.

ZZzzzzzzzzzzz !

Les ailes de la petite démone battent l'air rapidement. C'est qu'elle est en retard. Très en retard même. Quelques jours avant sa capture elle avait reçu la visite d'un grand homme. Il lui avait laissé un parchemin lui expliquant qu'elle était invitée. Et puis, comme elle ne sait pas résister quand il s'agit d'invitations ou de cadeaux, elle s'est mise en route de suite. Entre temps, elle a chanté avec quelques sirènes, a fait quelques pirouettes dans le ciel, a cueilli quelques fleurs, a défié quelques étoiles, et puis s'est fait attraper par un pirate... Elle est juste un peu en retard ! Mais ce retard, c'est surtout à cause du pirate, ce n'est pas de sa faute à elle.

ZZzzzzzzzzzzz !

Les ailes de la petite démone battent l'air rapidement. Elle suit scrupuleusement le plan indiqué sur le parchemin, sans même faire de pause cette fois. Elle traverse des montagnes, des plaines, se baigne dans un cours d'eau, cueille trois pâquerettes et un pissenlit au passage, bavarde avec un écureuil et finit par arriver à la grande croix rouge : le village.

Un coup d'oeil à droite, un coup d'oeil à gauche... Personne.

"Suis toute seuleeeee ! Suis juste pas beaucoup en avance et ils m'ont oubliéeeeeee !"

Un coup d'oeil là-bas, plus loin, un coup d’œil dans l’hôtel…

[Suite dans le hall de l’hôtel]

Je suis Kandrian Antille, dernier hérité des Hert'Al’Sharads, tribut de l'ouest. Hett'A'Sharads, de farouches guerriers maudit, maudit par les fils de Caïn et autres abominations, mon destin est scellé comme ce fut le cas pour mes pères. Il tient mon âme entre ses griffes par un pacte de mille ans. Ennemi de Caïn, il nous à offert le pouvoir et la jouvence éternelle, nous lui avons offert nos âmes et celles de nos fils. Voilà deux cents cinquante deux ans que mon feu purgateur et mon crucifix purifient cette terre de la vermine. Souvenez vous de ce nom, je viens vous arracher de votre non-vie pour le salut de mon âme. Je proclame la justice, je répend le feu sacré et serein. Le feu divin. Un nouveau foyer du malin vient de naître, le devoir de mon sang m'appele.

Le feu dans les yeux et les prières aux lèvres, il erre dans les rues désertent, le village ne semble donner aucun signe de vie. Il est l'ombre à l'épée-crucifix, il est l'homme de l'ouest, le Hert'Al'Sharad, le purgateur. Un battement d'ailes, il s'arrête, dégaine. Une voix.

"Suis toute seuleeeee ! Suis juste pas beaucoup en avance et ils m'ont oubliéeeeeee !"

Il relève son capuchon comme pour mieux distinguer de son oeil encore valide la chose qui évoluait dans les aires. Une créature volante, pas besoin de réflexion, pour Antille ce n'était qu'une abomination. Une prière pour son âme et celle de la démone. Elle s'éloigne, elle lui montrera le chemin. La chasse est ouverte.


[Suite dans le hall de l’hôtel]

Mystica suivis l'homme qui l'avais invité ...

*Mais ou est ce que?!! je suis?!!*

*Alors une description mmmm*

Elle regarda autour d'elle il y avait deja pas mal de monde et l'homme qui l'avait invité ... disparu ...

"Mia ... Bien, je me nomme Mystica et euh me presenter ..."

Elle gratta doucement le sommet de son crane puis regarda les autres qui s'occupaient pas trop des betises qu'elle pouvait bien dire ...

*Parfais sa m'arrange, ils entendent a moitié je peux dire n'imprte quoi*

"Uhm donc euh je suis ... pas trés douée pour se genre de miaaa uhum! discours ..."

*Bon ben apparement personne ne fais attention a moi*

Elle dit alors d'une toute petite voix ...

"Je suis une demone revenue des enfers et qui a pris l'apparence d'une moitié de chat car j'adore les chats"

Elle l'avais dit si vite que la moitié des mots n'auraient pu etre compris ... Et elle finit par ce rendre compte qu'en réalité ... il n'y avait plus personne l'a ou elle était ...

*Tiens j'ai des visions moi?!! Pas bien grave vu que ce que j'ai dit est a peine la réalitée hihi*

Le chaton qui l'accompagné toujours sortit alors du sac laissant depassé sa petite frimousse puis les deux comperes firent le tour du domaine ...

Une femme se retrouvait seule, abandonné, elle regardait face a elle, elle ne voyait que une seule chose, un village ou quelques choses qui ressemblait a cela.

Elle était frigorifié, une tempête s’était déclaré durant son voyage habillé d’un simple habit de tissus et de son manteau avec une capuche elle arrivait a peine a avancé.

Mais ou était elle ? Cette contrée ne lui disait rien, mais que se passe t il pour quoi la nuit tombe t elle si vite par ici.

Son cœur ne se contenait plus elle cru apercevoir une personne au loin

Elle usa de ces dernières forces :

« A l’aide … »

Mais avant de finir le murmure qui était sorti de sa bouche, le noir l’envahi.

Ses pensées divaguait sur les fleuves de la brumes de ses souvenirs.

elle ne voyait que son passé, qui n'avait été que déchéance.
soudain elle se sentait transporté, quelqu'un l'avait surement soulevé de terres pour l'amener vers un endroit plus au sec, mais elle n'arrivait pas pour autant a remonter a la surface de ses délires.

Tout à commencer quand la malédiction de l’oubli à frapper les terres argenté et où tout le monde semblait perdre ses souvenirs et son histoire passer.
Quand voice s’en rendît compte, il avait déjà oublier une grande partie de son histoire.
Il était déjà vieux et avancer en âge et le peut de souvenir qu’il lui restait, lui semblait bien lourd.
Aussi il décida de partir pour un long voyage à la recherche de ce qui pourrait lui ôté le fardeau de ses pénibles souvenirs.
Sa quête du repos de l’âme avait commencer il y a bien longtemps de cela et avait parcouru une très longue route, jusque dans des régions encore inconnues.
Le jour où il arriva au bout de son chemin, il faisait une chaleur étouffante.
Sous l’effet de la chaleur, la ligne d’horizon se dessinait comme des nuées de spectres dansant d’une lenteur macabre pour accueillir les voyageurs.
Mais au fur et à mesure qu’il avançait, les spectres semblaient fuir et reculaient en gardant leur distance avec prudence.
Epuiser pas le voyage, il lui restait encore quelques pas pour arriver au dessus de cette petite colline et pour enfin prendre un peu de repos.
Une fois arrivé, une nouveau spectacle s’offrait à ses yeux brûler par le soleil et ne su à ce moment que penser de ce qu’il pouvait voir.
Un village. mais comment est-ce possible ?
Il ne se trouvait sur aucunes des cartes du pays, et pourtant il se dressait là devant lui.
Voice avait bien entendu des rumeurs de la part des anciens à propos d’un village légendaire mais il n’y avait jamais vraiment cru.
Etait-il possible que ce soit ce village dont il avait entendu parler et où, selon la légende, se retrouve tous les souvenirs et les histoires du monde ?
Non sans une certaine émotion, voice s’avança jusque l’entrer du village pour en savoir plus…

[hrp] la suite ->->-> au chateau<-<-<- [/hrp]

La tempête battait les malheureux restés dehors. Le cavalier avait du abandonné sa monture à l'orée du village, celle-ci se montrant étonnement têtue quand à rentrer dans cet endroit.

Tête de mule ... caractère de femme.

Avait ronchonné Léo avant de continuer à pied. C'est à bout de bras qu'il portait Edelweiss la félys. Emmitouflée dans la lourde cape de Léo, celle-ci semblait inconsciente.

Ce village, après tout c'est tout ce qu'il y a ici et cette chose que je tiens dans mes bras à besoin de plus de soin que les tours de magie d'un vieil idiot.

Il fallait faire vite et rejoindre un abri ou sinon le froid aurait raison des deux imprudents.

Que pouvait-elle bien être ? Elle avait du pelage comme une bête et pourtant semblait marcher sur deux pattes ... drôle d'animal. Et pourtant elle semble si humaine. Foutraille de temps !

Léo avait souvent la mauvaise habitude de parler tout seul ou à sa jument, la vieillesse expliquant cela. Cependant il se révélait un véritable muet quand à parler à ceux qui pouvait lui répondre.

Une lourde armure de plaque sombre marquée de runes diverses s’étalait sur le corps du vieillard. Son visage ridé était masqué par un heaume aux allures sinistres et à sa taille pendait une imposante masse de mithrill aux ténébreux reflets. Jouer sur l’apparence n’était pas vraiment le fort de Léo, il préférait aborder des armures et armes inquiétantes mais efficaces plutôt que les fragiles feuilles d’or que portaient ses paires.

Malgré son aspect angoissant, le vieil homme se révélait être un serviteur de la lumière, un homme de foi, un paladin. C’est cette foi en la lumière et l’amour qu’elle lui rend qui lui permet de rester ce mur vivant malgré les années. La vieillesse le surprend parfois en lui glaçant les articulations ou en lui faisant peu perdre la mémoire, mais jamais il ne tremble lorsque son bras porte le bouclier de lumière qui protège les siens.

Soudain, une impression de déjà vu. Une odeur nauséabonde qui malgré la tempête vient frapper Leo de plein fouet.

Mais déjà il arriva face à un mot laissé pour les nouveaux arrivants lui indiquant comment rejoindre la salle du trône.

Mhh ... c’est toujours mieux que ce temps de tous les diables.