La salle commune

Ashbazg voir le très très très petit homme l'observer. Ashbazg bousculer l'homme qui pue les fleurs de la main pour rejoindre le minuscule bonhomme mais s'arrête net quand une femelle humaine rouquine fonçer dessus. Grumpfff... Ashbazg détourner son attention de ce couple répugnant. Pouahhh... Ashbazg pas aimer mélange des races.

Hu!?! sniff... sniff... Ashbazg devenir folle. Elle sentir mâle orc. Ashbazg chercher et tourner dans tous les sens, massue brandie prête à frapper ceux qui gêne elle.

"RRRrRRrrRRrrRrRRrrRHAAAAAAAAAA" Ashbazg hurler sa joie à la vue de la peau verte et foncer vers lui.

Grumpfff... Ashbazg voir mâle orc fuir. Ashbazg très colère. Elle pas aimer que mâle orc fuit à son approche. Elle très très belle orcque !

Ashbazg aller suivre mâle orc. Ashbazg à faim mais mâle orc plus important que manger.

filant vite, Ashbazg pister à l'odeur mâle orc et sort de la grande salle.

L'Ange s'était dévoilé à tous, mais personne ne réagissait...Pourtant, sa lumière avait dévoilé quelque chose..une ombre, non plutôt un esprit, il traversait Valheru de part en part à plusieurs reprises...

Apparement, il était le seul à le voir car personne d'autre ne semblait réagir à cette être translucide qui le frôlait...

Depuis les Cieux entend mon cri,
Redonne son corps à cet esprit,
Moi Valheru Seigneur des Anges,
J'implore tout haut ta blanche puissance.

Répétant les phrases de plus belle, l'Ange haussait le ton de sa voix, de plus en plus fort. La fatigue s'emparait quelque peu de lui, mais il ne voulait pas abandonner...

Voyant que sa magie allait à nouveau être un échec, Valheru vit une larme perler sur les joues de cet esprit qu'il distinguait de plus en plus..une forme féminine se dessinait...

Reprenant de plus belle, il entonna cette envoutante mélopée :

Un esprit pleurs sous ce toit,
Ne voit Tu pas son désarroi,
Aide ma magie à térasser,
Ce maléfice qui l'a brisée.

Par la puissante lumière qui me guide,
J'implore ton aide des plus rapides,
Que cet esprit qui pleure encore,
Rejoigne la paix de son corps.

Cette incantation !!!
Il me vois il me vois !
Oui je pleure, pourquoi...
Il m'aide, oh merci...

Pleurante de joie a présent, elle voulu essuyer sa larme qui coulais le long de son visage. Elle apporta sa main translucide a sa joue, et au moment ou le spectre de sa main toucha sa larme, Une lumière l'aveugla, provenant de l'interrieur même de sa larme.
Le bout de ses doigts reprirent forme et couleur d'origine, puis sa main, et son bras, et peu a peu Gaïanne réapparaissait.

Une fois entière, et heureuse que le maléfice de l'hote du manoir soit soulevé Gaïanne se jetta dans les bras de Valheru. Mais accroché a son cou elle vis par dessus l'épaule du bienfaisant elf, son premier corps, inerte a terre a coté du tonneau.

Je suis désolé

Ces quelques mots sont soufflés à l'oreille de la guèrrière pendue à son cou.

Sans même un regard vers le corps inerte derrière lui, Valheru ressent l'échec de nouveau. Ses pouvoirs sont loin d'être à leur niveau habituel, cette demeur l'empêche de les exploiter au maximum.

Ce manoir influe beaucoup sur ma magie blanche, je n'ai pu que recréer un corps en me calquant sur votre "ancien". L'autre n'est plus qu'une coquille vide mais la personne qui était à l'intèrieur n'avait rien de bon, c'était un esprit maléfique. Je vous prie de bien vouloir m'excuser gente dame,si mes pouvoirs n'ont pas été à la hauteur de vos espérances...

Ces derniers mots furent des murmures, l'Ange perdait l'assurance qu'il avait quelque peu acquis. il voulait le bien des autres invités mais n'arrivait à rien ou se faisait rejeter.

Une dure soirée pour le moment..

Toujours accroché au cou de Valheru, Gaïanne comença a pleurer de rage, amplifiant son ettreinte! Elle en avait assez, et sa carcasse qu'elle ne voulis plus voir en plissant ses yeux, lui torturait l'esprit.

Elle relacha Valheru mais ne s'en éloigna pas. En face de lui, elle lui murmura

Fais bruler mon premier corp cette carcasse qui git la bas!

Fais bruler mon premier corp cette carcasse qui git la bas!

L'air désolé, il répondit :

Ma magie n'est que blanche, je peux tout de même essayer, mais je ne le brûlerais pas.

Que disparaisse ce corps inerte,
Sous une pluie de flocons d'argent,
Car cela ne sera une perte,
Car le vrai est ici présent.

Balaye ce corps de notre vue,
Que l'on ne le revoit plus,
Car de trop il est pour nous,
Un seul suffit à notre goût.

Petit à petit, les flocons s'entassaient sur le corps, recouvrant celuic-i presque entièrement. la magie fonctionnait enfin, le corps était en train de disparaître.

Lorsque les flocons l'eurent ensevelis, un léger vent les firent voler, traversant la pièce avec pureté. Le coprs n'était plus.

Un sourire aux lèvres, l'ange avait enfin récupérer une part de bonheur pour l'offrir à celle qui le tenait avec tant d'envie.

Voila qui est fait noble guèrrière.

Il posa ses mains délicates sur les hanches de celle-ci.

Je suis heureux d'avoir réussi à vous aider.

Gaïanne se sentis tétanisé...

Elle ne bougeait plus! Livide, elle semblait regarder le néant... mes les penssées étaient la

Maudit Hôte de malheur!

Lorsque le danger lui sembla passé, le nain sortit le bout de son casque du tonneau, ouvrit la bouche et émit enfin un son!

BUUuuuUUUuUuUUuUUUuUuUuUUuuRRrrRRrrRrrp!

"Je vous souhaite tout de même bonne chance, je n'ai aucune rancune envers toi petit homme, malgré ta haine envers moi et mes semblable bien que je doute que tu ai déja vu un ange venir à ton aide. Tu as refusé la mienne car je suis elfe, je le regrette."

Se plaçant dans l’embrasure de la porte, interdisant le passage à Valheru. Les deux mains ouvertes, paumes vers l’elfe.

Galahad vit l’elfe tourné sur lui-même, le regard attiré par un point dans le vide. Il semblait observé l’invisible.

« Décidément, il doit être soumis à une forte pression pour déraisonner ainsi, encore un à qui cette maison ne semble pas réussir. », se dit le jeune homme.


Ensuite, le paladin vit une démonstration de parage nuptiale chez deux spécimens orcs. Peu courant, comme danse et bruyant, en plus …
Interdisant au fil de sa pensée de poursuivre, grimaçant.

Mais encore plus stupéfiant fut la scène cocasse entre une elfe très… attachée et un nain grincheux (bon d’accord c’est un pléonasme), qui s’exerçait à l’apnée au fond d’un tonneau de bière.

« C’est clair, là j’ai plus très soif en plus je suis sûr que maintenant y a plein de poils de barbe… »

Jamais on avait vu deux représentants de ces espèces se conduirent ainsi. Quoique considérant le nain, si il lui semblait bien reconnaître certaines caractéristiques :
Bougon, éthylique, barbu et court sur patte…

Gaïanne terminait de convulser au sol, baignant dans une petite mare de bière, le tout ponctué par les éructations du digne représentant des demi-portions…

Sans oublier une elfe pyrokynésiste chialant dans les jupes d’un barbare, tout en cramant les tapisseries.

Au bord de l’exaspération, les sens saturés par tant de stimuli, le jeune paladin, donna de la voix :

« Par l’Etoile Céleste allez vous donc arrêter tout ce bazar !
Et calmez vous, crier ne sert à rien », hurla t’il

Shariel passa devant la porte et essaya de l'ouvrir, rien?!
Elle s'énerva et brutalisa la porte plusieurs fois.
Mais rien n'y fit.
Elle ne s'ouvrait pas...

Si elle ne s'ouvrait pas, c'est peu être que l'hôte ne voulait pas que Shariel entre dans cette cage d'invités plus bizarres les uns que les autres.

Shariel décida, un petit tour ne lui ferait pas de mal parès tous!

[suite >>> salle des trotures]

(On se balade ^^)

.........................

Le barbare resta la bouche ouverte, un oiseau pouvait y faire son nid...

Il sentit tressaillir Aénoria

Aénoria a écrit:

Elle se crispa alors, enfoncant sans s'en rendre compte ses ongles dans les chairs du bras de Torak.

Il resta bouche bée............

Aénoria a écrit:

Dans un cri, toutes les tapisseries recouvrant les murs prirent feu. L'Elfe se mit les mains devant les yeux et se colla fortement contre le torse du barbare et se remit à pleurer. En même temps que ses larmes coulaient, les flammes disparurent non sans laisser les traces de leur passage. Les tapisseries ainsi consumées laissaient alors place à une porte supplémentaire qu'aucun invité n'avait alors soupçonné...

"Mais aïeuh......... M'enfin"

Il regarda d'abord son bras tailladé.

"Zen, restons zen........ la panique ne sert à rien surtout façe à un petit malin qui use de tours de tarlouzes en robe en évitant de nous affronter front"

Il sentit Aénoria se rapprocher de lui, frissonnant d'effroi tant de l'hôte du Manoir que de l'incontrôle de ses capacités.

L'orc se réveilla et fonça vers la cave, suivit d'une femelle orcque. Puis ils furent ébloui par Valheru

"Si vous voulez mon avis, belle dame, cela commençe à sentir le roussi, içi......... tous le monde pête un plomb et cela m'agaçe......... Toute cette magie, ces tours de passe-passe, cela me donne soif..........

Notre hôte nous a demandé de descendre, y allons-nous ou bien empruntons-nous cette porte qui s'offre à nous ?? Si on descend, on a un espoir de sauver quelques tonneaux de bières avant que les orcques et le nain aient tout vidés...... SI nous prenons la porte, nous pouvons chercher notre hôte et essayer d'arrêter ses maléfices et les emprises qu'il exerçe sur nous........."

Regardant d'un air interrogateur Aénoria, il attendait une réponse

Gaïane était toujours tétanisé, son premier corp avait brulé et en même temps sa force motrice avec! Que se passait il!
Elle en avait assez, et doucement, son regard repris de la nervosité, elle regardait alternativement a gauche puis a droite!
Quelques instant apres elle retrouvait la motricité de ses membres.
Cet hote se baladait encore de la pièce et ceci exaspérait Gaïanne, elle entendait les penssées de tout le monde! Elle ne savais pas de quelle manière, mais elle entendais!
Et quelqu'un dans la pièce la prenait pour une elfe

Elle fis volte face et le pas assuré, elle se dirigea vers la porte dans l'embrasure de laquelle se trouvait un invité qu'elle n'avait jamais vu. Elle dégaina un sabre de sa main droite. De sa main gauche elle attrapa Galahad par le cou et le souleva pour le plaquer contre le mur a deux pas de la porte. Apres l'avoir laché, elle luiplanta ses doigts dans l'estomac et passa le sabre sous la gorge de l'invité en lui soulevant le menton.
Ses yeux rougeoyaient de rage, et ses dents grinçaient!

Quelle éducation as-tu reçu pour me confondre avec une elfe!
Sombre imbécile!
Je remercie le ciel de ne pas avoir d'oreilles pointues!
Je suis HUMAINE!
Une guerrière! et non pas une lopette en robe commes les elfes, et si tu en doute je te ferais volontier gouter a ma force, qui, tu l'observera, n'a rien a voir avec celle des elfes!

L'Hôte du Manoir a écrit:

L’ombre toujours à l'affût s’enroulait autour de Valheru…

Celui la, trahi mes sortilèges… Punition, il y aura….

Frôlant le barbare, il chuinta en sifflements….

Torak, seras-tu le prochain…. Vas à la cave…

OBÉIS !!!!!!!!!

"Euh... je n'obéis qu'à Krom, mon cher!!! et vos sorts de magies ne m'impressionne pas, vous ne connaissez pas mon passé et ce qui m'anime" dit-il en dilatant ses pupilles au point de disparaître dans le blanc des ses iris. Son torse gonflait déjà et il sentait la rage l'envahir mais respira un coup et redevint normal

"Mon cher Hôte, je suis venu par curiosité et regadrez cette belle enfant, elle se pose des questions.... sachez que nous nous en posons tous" dit-il d'un ton doucereux

"Alors, la question générale est : QUAND EST-CE QU'ON BOUFFE!!!!!!!!" hurla-t-il laissant la rage le submerger, doublant presque de volume, le teint rougoyant; la machoire serrée, ses muscles bandés, ses épaules légèrement voutées,prêt au massacre

Ces braillements furent accompagnée de ceux de Aénoria

Aénoria a écrit:

Va en enfer!!!!!!!

Au point qu'il sursauta en se dégonflant comme une baudruche, surpris d'un tel cris d'une aussi frèle personne, faisant presque un petit bond sur le côté

Aénoria a écrit:

Elle ferma alors les yeux comme pour calmer definitivement sa colère.

Bon maintenant que je suis calmée, je descendrais bien boire une bière.

Lorsqu'elle rouvrit les yeux pour faire face à Torak et ainsi l'accompagner vers la cave,

"Diantre, vous êtes surprenante!!!!" dit-il en la regardant dans les yeux avec un sourire épaté

"Bon, l'hôte, là, je vais descendre en bas non pas parce que tu me donnes l'ordre mais parce que j'accompagne la demoiselle, huk huk huk"

Et ils se dirigèrent vers la cave

Galahad, totalement surpris, ne pu que voir Gaïanne le charger.
Les réactions à ce point chaotiques de la troupe le dépassaient totalement.

La seconde suivante… le souffle court… le dos collé au mur… une lame sous le menton… et la guerrière le regard rageur lui faisait face, lui susurrait, dangeureuse :

Quelle éducation as-tu reçu pour me confondre avec une elfe!
Sombre imbécile!
Je remercie le ciel de ne pas avoir d'oreilles pointues!
Je suis HUMAINE!
Une guerrière! et non pas une lopette en robe commes les elfes, et si tu en doute je te ferais volontier gouter a ma force, qui, tu l'observera, n'a rien a voir avec celle des elfes!

Elle haletait.
Lui tentait d’inspirer cet air qui parvenait si douloureusement à ses poumons, fixant la jeune femme dans les yeux et lui décocha un regard des plus glacial…

« Ainsi ici seul le chaos dirige vos comportements, et bien soit, jouons… », pensa t'il

Elle était proche de lui, si proche. Il lui fit un clin d’œil.

D’un geste vif, lui saisit la main droite et d'une torsion du poignet, dégagea la lame en imprimant un mouvement ample, bloquant le bras de sa propriétaire.
Surprise, elle avait légèrement relâchée la pression sur l’épigastre.

Le paladin, le regard beaucoup plus léger, en profita pour voler un baiser à la furie.

Elle écarquillait les yeux d’une façon qui ne pouvait que dire « IL A OSE ! ». Cela il n’avait pas besoin de savoir lire dans les pensées pour le comprendre.

Et lui souffla, tout sourire :
« Désolé pour la méprise. »

« Qui est le plus imprévisible maintenant », pensa t’il

Peut être allait-il s’amuser ici.

...

Son regard s’accommoda par delà l'épaule de la guerrière, un peu plus loin... sur le nain… LE NAIN !
Elle l’avait embrassé deux minutes avant, réalisa t’il au bord de l’écoeurement.

- Cariboux laissait échappé un rot délicat et bruyant. -

Le sourire du paladin venait de s'effacer.

Il serrait fichtrement fort son poignet et Gaïanne commença doucment a avoir mal. Elle relacha le buste du paladin qui venait de la contrer. Elle détesta un instant voir son sourire se dessiner, car elle était genée.

Mais il lui avait volé un baiser, et ceci l'avait singulièrement choqué!
Elle voulut le jetter a terre pour lui faire payer cette impolitesse, mais elle tourna la tête.
En voyant le nain a terre, elle eut envie de vomir.
Elle se souvenait, c'était l'oeuvre de l'hote du manoir qui lui avait lancé ce sortilège, comme un filtre d'amour.

Elle reposa son regard sur celui du jeune paladin bien plus séduisant.
Il s'excusait de sa méprise ce qui était tres noble de sa part aux yeux de Gaïanne.
Elle dessera tout ses muscles pour prouver a Galahad qu'elle ne serait plus hostile envers lui.

Galahad relâcha la pression de ses doigts sur le poignet de la intrépide guerrière, voyant qu’elle semblait être revenue sur de meilleurs sentiments.

Les regards se croisèrent, les souffles s’entremêlèrent.

Il se sentait déstabilisé par la situation qu’il avait lui-même provoquée. Une telle proximité avec une femme n’était pas dans les habitudes du jeune homme.

Gêné, il rougit.
Il réalisait qu’ils étaient néanmoins restés immobiles, figés dans la position dans laquelle ils étaient l’instant d’avant, seul leur musculature s’était détendue.
Il accompagna avec douceur la main armée de jeune femme jusqu'à ce que celle-ci retombe totalement le long de son corps. Juste pour maintenir le contact de leur main un peu plus longtemps, il avait l’impression quelles dansaient et exprimaient peut-être ce qu’une dure existence martiale avait refoulé.

Ils étaient demeurés l’un contre l’autre, durant tout ce temps qui bien qu’infime lui paru être d’une plaisante longueur.

« Gaïanne, c’est bien cela ? »

Se trouvant très bien dans son tonneau, le nain décida d'y rester et commença à roupiller. Il n'y avait vraiment que là qu'il était bien.

Galahad demandait: « Gaïanne, c’est bien cela ? »

Elle resta un instant muette. Elle était en train de rêver. Quand elle repris conscience de l'évènement, qu'elle se rendis compte qu'elle avait baissé le bras et que son sabre ne menaçait plus le paladin, elle remarqua que ce dernier l'observait, une expression de ragard nouvelle.

heuu... Oui ça doit être cela... Oui, je suis Gaïanne.

La pauvre completement déboussolé, demanda en retour, un léger sourire charmeur, omnubilé par ce regard qu'elle tentais de déchiffrer.

Et vous noble seigneur ?

Son attention se porta sur la main du jeune homme qui tenait avec douceur son poignet. Elle voulu ranger son arme mais supposait qu'il retirerais sa main. Néanmoins il n'avait plus de crainte a voir, ses muscles relaché, sa rage envolé, elle lui avait demandé son prénom en se rapprochant toujours plus près du paladin, comme fasciné.

Elle lui souriait, son petit rictus illuminait son visage et lui donnait une expression des plus séduisante.

Il restait là, transporté dans un voyage onirique où son univers se limitait à Gaïanne, le mur derrière lui et peut-être le sol, il ne le sentait plus si bien, ses jambes étaient devenues cotonneuses.

"Et vous noble seigneur ?"

Les mots qu’il venait d’entendre peinaient à se reformés dans son cortex, et c’est au bout d’un instant qu’ils prenaient tout leur sens.
"Et moi quoi ? se dit-il… A oui, mon nom !"

Je…, haletant, je me nomme Galahad.

Le regard de la jeune femme s’était porté sur leur main, il le baissa à son tour pour remarquer qu’il lui maintenait toujours le poignet.

Totalement sous l’emprise de la magie du moment, il relâcha prise pour glisser sa main derrière la belle créature, qui lui semblait-il se rapprochait de lui, à moins que ce soit lui qui s’approchait.

Il tentait une fois de plus de capter le regard de la jeune guerrière.
Leurs yeux s’échangeaient tant de messages, que leurs lèvres semblaient vouloir explorer un autre mode de communication.

Il s’humectait les lèvres, le bout de leur nez se touchaient, se caressaient.
Il bascula la tête sur le côté, s’approchant encore un peu plus…

Le paladin lui avait barré la route vers la sortie mais il n'en faisait rien. Il était perdu dans ses pensées, il s'était affaible, toutes ces incantations, tout ces efforts pour essayer de soigner ces gens blessés.

Le souffle quelque peu haletant, il s'appuyait contre un mur :

Qu'est-ce qu'il m'arrive, je me sens quelque peu faible, les ténèbres envahissent de plus en plus cette horrible demeure, elles me rongent de l'intèrieur.

Ses mots étaient de faibles murmures, quelques gouttes perlaient sur son visage, glissaient le long de celui-ci avant de commencer leur chute vertigineuse en dirction du sol.

Quelle chaleur, ces flammes tout à l'heure, beaucoup trop d'esprits maléfiques... pourquoi tant de haine..cet endroit obscurcit tous les esprits...Mais qu'es-ce que je raconte...

Levant avec peine les yeux, il se dirigea non sans mal vers une chaise et s'affala avec fracas sur celle-ci qui ne tint pas le choc...

Galahad penchait doucement sa tête vers elle. Elle fus submergé par une sensation nouvelle qu'elle ne connaissait pas vraiment. De la douceur et de l'attention

En temps que guerrière, Gaïanne était habitué a être froide et insensible envers nimporte qui, et elle en était fière. Mais Galahad avait utilisé uen arme nouvelle envers elle, une arme dont elle s'est fais surprendre.

Il lui avait volé un baiser... C'était bien la première fois que cela arrivait. Son hummeur avait changé si vite apres cela!
Mais par quelle maléfice ou sors de magie blanche cela avait-il été possible.
Quelle chimère venait de les assembler ainsi et de cette façon.

Completement déboussolé, le nez du paladin qui sensiblement frolait celui de Gaïanne, cette dernière se pencha a son tour, pour déposer un baiser doux et voluptueux.

Est ce que celui ci dura un seul et furtif instant, ou s'était il prolongé dans le temps.
Gaïanne ne savait pas. Elle ne voulais pas savoir. Pourvu que le temps soit arrêté a cet instant


Malheureusement elle fus arraché de cet instant magique par un fracas invraisemblable. A quelques mètres d'eux, Valheru s'était éfondré sur une chaise qui visiblement n'avait pas tenu le choc.
Effrayé par le vacarme elle repoussa Galahad en arrière, craintive sur le moment, elle se remis sur ces gardes un bref instant, jusqu'a ce qu'elle apperçut Valheru.
Elle ne pouvais pas laisser cet elf a terre, pas lui, pas celui qui lui avait en quelque sorte sauvé la vie en lui redonnant un corp humain.

Un peu triste de devoir laisser Galahad "en plan" elle aida l'elf a se relever, espérant que le paladin ne disparaitrait pas. Elle était bien décidé a passer du temps avec lui, peu importes les menaces de l'hotes qu'elle maudissait au passage!

Valheru, vous allez bien, vous souhaites que je vous accompagne a l'extérieur prendre un peu l'air ?

elle posa un furtif regard sur Galahad, mal a l'aise de l'avoir laissé

Cela faisait quelques secondes seulement qu'il était à Terre mais il sentait déja qu'une personne lui venait en aide. Ouvrant quelque peu les yeux, il vit la guerrière qu'il avait aidé peu de temps avant.

Valheru, vous allez bien, vous souhaites que je vous accompagne a l'extérieur prendre un peu l'air ?

Oui il le voulait, mais seul, il laisserait cette guerrière en compagnie du paladin qui le regardait avec une pointe de jalousie désormais.

Un simple hochement de t^te en direction de Gaïnne lui signifiant qu'il acceptait sa proposition.

Mais seul...

Etant debout désormais, il s'appuyait quelque peu sur l'épaule de la dame qui l'aidait à son tour.

Puis s'adressant à elle :

La porte est-elle toujours bouchée ou puis-je allé sans problème dans le jardin afin de respirer un peu d'air pur ?

Attendant sa réponse, il sortit d'une de ces poches de son pantalon une petite fiole blanche qu'il ouvrit, et bu une gorgée. Le visage de l'elfe repris peu à peu des couleurs.