Ilot (5ème signe)

Au bord de la plage, vous apercevez un îlot…

Pour y aller, un ponton de bois encore solide… c’est moins sur. Essayez, vous verrez bien…

Etrange cette petite bâtisse…
Il semble y avoir des machineries…

La porte du bâtiment est fermée.

Une marche, longue marche sur la plage. Le sable, la mer, tout est si calme, étrangement paisible, trop peut-être.
Je suis méfiant, toujours.
Question de survie, et ici, c’est pas différent.
Putain, j’aime cette femme.

En contournant le pied de la falaise, on est tombé sur cette espèce de petite île…

Curieux…

J’ai pris la main de lady, l’autre fermement posée sur mon flingue.
On a traversé le pont.
J’ai failli me péter la figure. Normal.
Je passe le coup du costard, de toute façon, j’ai son jumeau dans ma valise.
Faudra songer à aller la chercher celle-la.
Et le whisky aussi.

Pas l’air d’y avoir foule…
Pourtant…
Qu’est-ce que c’est ces machins la ?!?

Je lâche la main de Lady, je fais le tour de la bicoque, j’essaye d’ouvrir la porte…
Marche pas. Chier.

J’entends des bruits…

? Nombre de messages : 538 Age : 73 Date d'inscription : 11/05/2006

héhéhé... regarde qui voilà... Ils sont si beau les petits amoureux...

Pourquoi fouiner bande de vilain ...

Chercher trop, et vous trouverez le trépas!!!

D'abors... le bruit d'une laniere de cuir qu'on delasse... puis le cliquetit d'une crosse qu'on deboite... en joue... Rifle chargé... mode perfo/poison... Il va adoré... et sa belle va hurlé de desespoir...

FLASH!!!

L'epaule de Trapp vrille, perforé... une belle trace de 4cm degoulinante de vert... comme un bon vieux slime...

Sens-tu Trapp ton bras mollir... sens-tu l'air s'engouffrer la ou il ne devrai pas...

La voix stridente du gobelin sonne en meme temps que celui ci se montre a sa victime

Ilot (5ème signe) Lueur2

GNIhihihi... Vous etes sur le territoire de Kweecly... Vous allez SOUUUUUFFRRRIIIIRRR

Pas l’temps de me retourner…
Putain mon cos…

Une violente douleur dans l’épaule, un truc qui vrille dedans comme si le but était de me perforer la moelle et d’en ressortir chaque petit éclat d’os méticuleusement.
Putain, ça fait mal à crever, merde !
J’empoigne mon épaule, je regarde ma main, l’espèce de liquide verdâtre, et cette douleur…

Il est la, devant moi, à quelques mètres et armé.
J’essuie ma main sur ma veste et je dégaine mon flingue.

Je vais te faire la peau…

Bordel… je…
Mon bras…
Je sens plus rien…
J’ai la tête dans le coton, les jambes qui me soutiennent plus…
Je tombe à genoux.
Mon flingue glisse de ma main entrouverte, sans force.

J’arrive à m’adosser péniblement contre la baraque en pierre.
Et je le vois…
Putain, j’ai la trouille bordel !

Dégage de la pourriture verte !

Lady ! Tires-toi !

Le flingue… prends le flingue….

? Nombre de messages : 538 Age : 73 Date d'inscription : 11/05/2006

Trapp s'effondre, sous les yeux medusé de la jeune femme.

Kweecly prend de l'elan et fonce tete baissé dans l'abdomen de Lady Sushy... souffle coupé... elle suffoque...

"PAAAAAAUUUVREEEEE PETITE AUX YEUX BRIDER!!!!! GNIGNIGNIIIIGIHIHIHIH"

Le gobelin pousse la japonnaise du bout du pied...

Il s'approche de Trapp...a terre....

"Oulala monsieur le gentleman... y a comme un p'tit trou a vot' veston là..."

Il enfonce un doigt verdatre dans la plait...

"Ca doit faire mal quand meme... Bye bye!!!!"

Dans un nuage de souffre eclatant... le gobelin disparait... Ainsi l'odeur avait une origine....

Lady !

Putain de gnome.. j’te buterai toi et tous ceux qui ont engendré une pourriture pareille...
Je t’crèverai, t’entends ça !!!
Je t’crèverai…

Fous-moi la paix, meeeeeerdeeee !

Ahhhh…
Putain de merde, y m’ramone l'épaule avec son doigt...

Pov’ connard, je sens plus rien ! Tires-toi, dégages de la j’te dis… Et laisse-la ! merdeeeeeeeee… fout l’camp… Puuuutain...

Je voulais bouger, lui écraser toute la rage que j’avais dans le ventre, lui farcir la gueule avec le manche du flingue, et appuyer, lui faire sauter sa sale petite tête de crapeau.
Mais…

Black out.

Tout s'est passé si vite !

On a quitté l'abri, on a découvert cet îlot, Trapp a essayé d'ouvrir la porte de la bâtisse, et voilà que ce...cette...cet énergumène baveux nous attaque !

-TRAPP !!!!

Il est tombé à terre.
Instinct de survie, je bondis sur le flingue.
Tirer sur le truc verdâtre.

-GNIhihihi... Vous etes sur le territoire de Kweecly... Vous allez SOUUUUUFFRRRIIIIRRR

Cette voix !! C'est inhumain !!
Ca me vrille les tympans, me traverse de toutes parts...
Il faut me ressaisir.
Kweecly...C'est son nom ?
Tire, Lady bon sang !!!

J'attrappe le flingue à pleines mains, mais je tremble, putain, comme je tremble...

PAF

- AAAAHHH !!!!

Je me retrouve projetée trois mètres plus loin.
Qu'est-ce qu'il pue, ce gnome verdâtre...

Je relève un peu la tête.
Meeeerde ! C'est qu'il va le maltraiter jusqu'au bout !

Toi...tu vas y passer.
Je sens monter un gros tas d'indignation, bien épais, juste comme il faut.
On touche pas à Trapp, MON Trapp !!
Ca va bien, oui ?!

Je me redresse, et sors un de mes poignards des poches cousues main.
Je lève le bras...

Il est plus là.
Ca pue le souffre...

Trapp...Oh merde, Trapp !!

Nom de dieu, Trapp...
Allez, réveille-toi, bordel.
J'te laisse pas le choix.
Réveille-toi...t'es juste dans les choux...

Je me traîne jusqu'au bord de l'eau, en recueille dans mes mains.
J'en asperge le peu qu'il me reste sur le visage aux yeux clos de Trapp.

Bon. Bouge-toi, Lady.
C'est à toi de t'occuper de lui maintenant.
Dormir...
Le laisse pas.
J'ai mal...
T'en as pas le droit.

Mal...Trop mal.
J'ai l'impression que je vais vomir mes boyaux.
Et si c'est pas le cas, c'est le truc verreux qui viendra nous éviscérer...

Merde, merde, merde...
Je me laisse tomber à côté de Trapp.
Réveille-toi, abrutie...
Si tu t'endors, vous êtes foutus tous les deux !

Ses yeux.
Toujours fermés.
Toute seule, je ne peux rien faire.
Ici, il n'y a personne.
J'ai peur de te laisse là...
Je n'ai pas le choix.

Je reviens...

[ direction la plage d'arrivée ]

Naufragé Nombre de messages : 185 Age : 44 Date d'inscription : 13/10/2005

J’ai pas envie de dormir ! J’suis un peu énervée voir nerveuse. Puis, c’était quoi ce machin vert ?
marchons ! j’ai pas envie de rester sur place. Je me sens pas tranquille et je sais pas trop pourquoi.

Rigolo de commander à un grand.

Tranquillement nous avançons le long de la plage seul quelques traces de pas précèdent les notre. 1,2,3,4,
deux personnes sont passé par ici. Au fur et à mesure que nous avançons, je distingue une espèce de promontoire
dans l’eau. Encore un bateau ? …

Oh ben non c’est des pierres taillées. Peut-être Parrain est là bas.

Vite Papy Gi !

Il traîne trop ce Papy là, il me rejoindra plus tard. C’est qu’il faut pas les presser les personnes âgées après ils tombent tout mort.

J’arrive au pied d’un pont en bois tout bizarre une estrade ? nan c’est pas ça un, un plancton ! non… mmmh…

Ponton ! à y est j’ai trouvé ! trop forte !

Moi peut-être mais pas ceux qui l’ont fait. Il y a des trous partout comment je vais toquer à la porte moi ? Aller courage Gaelle!
Parrain doit être là, il aime le confort alors il a du se mettre dans cette petite maison.

Ho hisse ! pfff dur! Encore quelques petits efforts…

Voilà j’ai tout escaladé, grimpé et autre tortures pour mes petite jambes grêles. J’aperçois des jambes allongées par terre. Parrain ?
C’est pas son costume. J’accoure pour voir qui c’est. Je connais pas mais il va pas me faire bien mal, il bouge pas. Il dort? Je m’approche
un peu plus de lui, donne un petit coup de pied. Toujours rien… Il est peut être mort ? Prudemment , je me baisse afin d’écouter si il respire.
Le souffle est tout doux mais il respire.

Ouff !

Ça fait peur les morts. Il dort bien le monsieur. Je le regarde mieux, une coulée verte sanguinolente transpire de son veston.

Beurk ! C’est quoi ça ? Il a bobo le monsieur !

Croisiériste Nombre de messages : 61 Age : 69 Date d'inscription : 14/02/2007

C'est toujours un plaisir de se laisser guider au gres des envies d'une petite fille intrepide...
Le temps n'est pas a la rigolade certe... mais trop de pression vous abat un homme en si peu de temps.

La petite grimpe... pas trop dure de la suivre... c'est sa petite taille qui fait de ce roché une montagne.

En haut... Merde... Comment il s'est blessé celui là?

"Hey... Monsieur..."

Gibson ecarte un peu Gaelle...

"Attend Minouche... pousse toi un peu" Il lui sourit, de ce sourir que savent faire les grandes personnes quand il y a un probleme qu'on ne veut pas montrer aux enfants

Beurk ! C’est quoi ça ? Il a bobo le monsieur !

En effet... ce liquide vert n'a rien de positif dans son etat...

Petite reminessance de secourisme scoutt... verifier la nature de la plaie...

John dechire la veste, la chemise...

"Outch..."

La forme de la plaie... la couleur necrosé de la chair l'entourant... pouquoi ce sentiment de déjà vu....

Que faire de lui... le ramener à la plage? Il doit bien faire 80kg le bougre...
Y aller et ramener du monde? Oui mais ca impliqe de le laisser seul...

"Minouche, vas tremper ça dans l'eau et ramene le moi"

Il lui tend un lambo dechirer de la veste de Trapp.

Cette plaie... vraiment elle ressemble a ... elle ressemble... un peu trop...

Naufragé Nombre de messages : 185 Age : 44 Date d'inscription : 13/10/2005

"Minouche, vas tremper ça dans l'eau et ramène le moi"

Hihi Minouche il est rigolo celui là. Je récupère le bout de tissu, descend le ponton sur les fesses pour pas tomber
puis je fait ce qui me demande. L’eau est bonne…

Zut, faut pas que je traîne !

J’arpente à nouveau cette chose en bois mais de façon plus aguerrie. C’était mal choisi, mes pieds mouillés glissent
sur le vieux bois et je manque de tomber plusieurs fois. Bon !allons y doucement.

Je tend l’étoffe mouillé à Papy Gi.

Il a quoi le monsieur ? c’est quoi ce truc vert tout breuk sur son épaule ?

Croisiériste Nombre de messages : 61 Age : 69 Date d'inscription : 14/02/2007

La petite reviens, le tissus imbibé d'eau salée.

Il a quoi le monsieur ? c’est quoi ce truc vert tout breuk sur son épaule ?

Oui... en fin de compte il a quoi le monsieur... c'est inquietant... Pourquoi cette plait ressemble t elle tellement à... non ... il faut s'oter cette idée de la tete... par contre... cette substance verte... si c'est pas du poison ca y ressemble quand meme vachement...

"Il a dut etre attaquer par une tribue local... certainement une tribue de chasseur qui imbibe leur fleche dans le poison pour tétanisé leur proie..."

John regarde... encore et encore...

"La couleur ne te rappel rien Minouche? On dirai le vert de la lumiere du porte clef..." Faire sourire les enfants dans les moment dramatique... ça fait decompresser tout le monde...

Pourquoi ca y ressemble tellement... Le projet experimental n'est jamais sorti du laboratoire GibsonTec de la zone51... pourtant cette plaie... cette forme... cette couleur...

"Ce pauvre homme est dans un sale etat... et le poison est pas là pour l'aider... reste a coté de moi Minouche... On va essayer de pas se disperser" Toujours ce sourire au levre... celui qui dit t'inquiete pas quand la grande personne commence a s'inquieté...

Naufragé Nombre de messages : 185 Age : 44 Date d'inscription : 13/10/2005

"Il a dut être attaquer par une tribu local... certainement une tribu de chasseur qui imbibe
leurs flèches dans le poison pour tétanisé leur proie..."

Tribu ?chasseuse ? des cannibales ? ils vont… il vont revenir ?

Je sens un peu la panique me monter au nez et les jambes qui flagellent. On peut pas le laisser là le monsieur sinon il va se faire manger.
Du vert comme le porte clef, je reconsidère mon nouveau jouet. Papy Gi fait aussi parti de la tribu ? non c’est un gentil lui !

Du poison ? mmmmh qu’est ce que disait mamy déjà…

Papa disait que ma mamy était une hippie et qu’il fallait pas écouter ses sornettes, pourtant elle a soigné beaucoup de mes bobos.

Un jour elle m’a parlait d’une plante que les sioux utilisaient pour les morsures de serpent ça peut peut-être marcher.
Elle m’en a montré une fois ça ressemble à une grosse fleurs de camomille très rouge. J’en ai vu près du point d’eau
tout à l'heure quand j'ai voulu attraper mon papillon. Il faut lui faire boire l’infusion et mettre les fleur qui ont servis
sur le bobo comme un pansement

Je peux y aller vite ?

Croisiériste Nombre de messages : 61 Age : 69 Date d'inscription : 14/02/2007

C'est peut etre une solution... tout poison a son contre-poison naturel... Mais la laisser filer seul...

"Ok Minouche... cours vite, et si tu vois quoi que ce soit d'anormal... cache toi... et si tu peux pas... cri fort!" Le sourire de John est quelques peu crispé... mais allé... on va bien finir par s'en sortir de cette petite galere...

John glisse sa main dans sa veste un peu poussiereuse et en sort un disque d'aluminium estampillé GibsonTec. Il maintient le perimetre et apuis sur le centre... le disque devient gobelet (pas gobelin hehe).

"Tiens Minouche, pour prendre un peu d'eau avec ta fleur soignante, file vite..."

Et fait attention petite fille...

Baronne Nombre de messages : 277 Age : 43 Date d'inscription : 14/02/2007

Trapp ….

Non après tout démerde toi toute seule, ce n'est pas parce que j’ai dit qu’il faut soigner les blessés, que je vais forcement me transformer en mère Theresa .
Le sang ça salit et puis l’épaule, n’exagérons pas ... ça ne peux pas être aussi catastrophique !

Un coup d’oeil rapide à Johnny, histoire de voir ce qu’il en pense, et me voilà en route
Demandez pas c’est comme ça et puis c’est tout, qui m’aime me suit hein Johnny ?

Montrez-nous le chemin

Bien sec, direct pas besoin d’embellir !

On y est, où qu’il est le mauvais acteur

Tiens la gamine du salon qui s'en va en courant, et ça doit être son papa sûrement ...
Rhooo mais non laissez le vous, voyez bien qu’il fait semblant ..... n’est-ce-pas ?
Trapp relève toi tu as fais peur à une enfant, tu n’as vraiment pas de coeur tssss
Trapp ?

Oh mon Dieu !
Non pas lui .... enfin si... mais non
Poussez vous bande de vautours ! Il n’a rien sur lui de toute façon et pour regarder du sang vous n’avez qu’a aller voir ailleurs !

Je repousse le père, oublie le reste des présents
Attrape le goujat par la veste, tiens il saigne vert

Trapp !!!!!!!!!! réveille toi bon sang !

Réveille toi ou je te jure que je te fais quelque chose !

Qui ?

qui a osé me casser mon Trapp ? j'ai encore besoin de lui moi !

Croisiériste Nombre de messages : 61 Age : 69 Date d'inscription : 14/02/2007

Quelle brutasse!!!

"Doucement voyons!!! Le secouez pas! evité de le deplacer, le liquide vert a vraiment l'air d'etre du poison!!"

Quel hysterie!

"La petite est partie chercher ce qui pourrai etre un contre poison."

Reflechit John...

"Peut etre finalement devriez vous le ramener a la plage, je vais filer apres Minouche pour la ramener par la bas...."

Reflechit encore...

"Le secouez pas trop... on sait pas comment se diffuse ce poison... ni si s'en est un ... mais quand meme... ca y ressemble..."

Naufragé Nombre de messages : 179 Age : 44 Date d'inscription : 13/02/2007

We arrive là où le sharkling est apparemment almost dying.

At first, c'est moi qui menait la japonaise par le bras.
Then, c'est elle qui nous a montré le chemin.
But now, c'est Marguerite qui fonce pour voir les dégats.

He's not going to mourir juste comme ça, calm down girl!

Tiens, what is cette construction???

J'arrive derrière Marguerite. There is already another guy, à peine aperçu sur le bateau.

Poison?
shit.

Yeah, alors il faut pas le laisser là, à vue, et au soleil. Sun sur une blessure purulente? not good!

Dude, if la girl a une idée de contre poison, go for it. I'll take le blessé back there, ce serait bête que l'empoisonneur revienne around here, right?

Je regarde Marguerite.
...
Alright, I'll do it.

I'll le prendre sur mon épaule, help me pour pas que je l'amoche trop. And you stay juste derrière moi pour vérifier how he goes, et essayer de le wake up, d'accord?

Un genou à terre, je le chope par le dos, le fait lentement glisser on my shoulder. Marguerite holds son épaule et sa tête.
Je me lève, doucement. Pas le time de perdre l'équilibre.

Slowly, je go toward la plage d'arrivée, vers le coin à l'ombre of the rocks où j'ai commencé à rassembler the salvage from the boat.

Baronne Nombre de messages : 277 Age : 43 Date d'inscription : 14/02/2007

Attend il est complètement à côté de la plaque celui la ? évitez de le déplacer gnia gnia gnia ramenez le sur la plage gnia gnia gnia, faudrait peut-être se décider non ?
En plus c’est pas du poison, c’est son sang qui est vert, une illusion d’optique c’est tout
Mais oui biensure
Et puis zut ! je secoue qui je veux et quand je veux !

...l'empoisonneur...

Mais qui ? un coup d’oeil suspect vers le papa, interrogateur vers bruce lee, elle doit bien savoir quelque chose !

I'll le prendre sur mon épaule, help me pour pas que je l'amoche trop. And you stay juste derrière moi pour vérifier how he goes, et essayer de le wake up, d'accord?

Moui va pour ça, je l’aide comme je peux, d’une main je retiens l’épaule blessée, de l’autre son visage inanimé
Trapp réveille toi ...

Non mais ils sont tous dingue? tu vas te trimballer avec le Trapp sur l’épaule, alors que tu as une cabane déserte (oui déserte, je ne vois vraiment pas qui voudrais habiter par-ici) juste sous le nez ?

Johnny attend ... regarde ... dépose le là bas

Pas la peine de se crever non plus mon chou !

Naufragé Nombre de messages : 179 Age : 44 Date d'inscription : 13/02/2007

Hop, troisième potatoe bag, je vais me reconvertir...

Not évident de descendre les escaliers en wood vermoulu avec ce gros lourd on the shoulder.

How will I...?

Marguerite me retient...
What?

You're sure que c'est sûr, de le laisser ici?
Bon, inside, c'est vrai qu'il serait bien protégé, et on serait tranquille to heal him.

Right...

First, le mettre du côté ombre du building.
Làaaaaa...

Now, ouvrir cette porte...
Uh? No poignée?

How do you...?

Looks like un mécanisme pour l'ouvrir... but what, de l'intérieur?

Wait a minute ici, Marguerite.

Le mur of this building est en pierre, et pas haut.
Pretty easy de l'escalader... theeeeeere...
Beware à pas me casser ma belle gueule quand même!

Hop, I arrive sur le toit, en bois even more vermoulu que les escaliers. Only des planches de wood posées on the top.

J'en soulève one elle casse, me reste dans la main, I slide it sur les autres.

Enough pour me glisser inside?

Let's essayer...

One foot, une jambe, la deuxième, my body... bye bye sun!

Je tombe inside. Hardly la lumière from le trou dans le toit.

Still pretty sombre à l'intérieur.
La door, behind moi.

A tâtons, je cherche un mécanisme pour ouvrir, something...

Ils sont tous là, s'affairant autour de lui...Même la petite fille aide à le soigner.
Et moi, je reste en retrait, tétanisée.
J'arrive pas à le regarder, ce serait comme regarder cette horreur en face.
Je parle du gobelin, bien sûr.

Oh merde...
Merde merde merde !!
Non !
Johnny !

- NON !! Attendez !

Il est en train de monter sur l'îlot !
Trapp sur son épaule !
Je peux pas leur laisser l'amener dans le repaire de ... comment il s'appelle déjà...Ah oui, Kweecly.

Mais comment leur expliquer ?
Ils vont me prendre pour une folle...

J'halète un peu, essaye de formuler une phrase correcte.

- Attendez...L'emmenez pas là-dedans !!
Le...la chose qui nous a attaqué, ce...

Comment dire ? Je peux pas leur dire qu'il s'agit d'un gobelin...

- ...ce qui nous a attaqué est sorti de là-dedans...Il y est retourné, c'est sûr !

Ne vous jetez pas dans la gueule du loup...
Il faut s'éloigner d'ici...VITE !

Trop tard.
Ils sont dedans.
Chier.

Le dénommé John Gibson est derrière moi.
Il n'est pas rentré dans la bâtisse de Kweecly.
Je lui pose une main sur l'épaule.

- Vous êtes...un homme bien. Vraiment. Ne me suivez pas.

Et je rejons les autres, déjà perdus dans le noir de la cahutte.

Naufragé Nombre de messages : 179 Age : 44 Date d'inscription : 13/02/2007

Hop, je tâtonne, I hear a Clonk, and a Shtonk, et puis aussi un rrruiiirrruuiiiiirrii d'un mécanisme pas bien huilé qui grince.
But globally, le truc qui fermait la cahute s'open maintenant.

Préparation du big smile pour le moment ou le sun va de nouveau m'éclairer, pour le bénéfice total de Marguerite...

Bloody mince! Le soleil est pas devant, je suis still in the shadow. Effet à l'eau. Same player, shoot again.

Bon, clin d'oeil de circonstance à Marguerite, avant d'aller trainer ce poor Trapp à l'intérieur.

It's not tout ça, mais faudrait essayer de trouver un truc pour soigner sa blessure là. Moi, the only thing que je connaisse de médecine, c'est l'alcool, pour se pochtroner pour oublier la douleur.
Pas sûr que les demoiselles à côté apprécient mes skills, comme ça.

Marguerite et moi à l'intérieur, I hear des cris, dehors, que je n'arrive pas à distinguer.

Je sors, la japonaise is coming toward us, et plus loin, the other rich guy.

Bon, at least, il est à l'ombre. Faudrait penser à le soigner now.

Vers Gibson:
Dude? you have something alors, pour ce poison?? Il va en avoir besoin quick hein!

A nouveau toward Lady:
Or maybe un peu d'alcool, après tout, ça désinfecte... or it can help à l'anesthésier.

Je go back inside, Marguerite essaye de le réveiller, no luck pour le moment.

Ne pouvant pas faire much more pour l'aider, mes yeux se lèvent vers l'intérieur du building, encore mostly plongé dans la pénombre.

And what is th...?

-Or maybe un peu d'alcool, après tout, ça désinfecte... or it can help à l'anesthésier.

Désinfecter ?
Pouquoi pas.
Mais faut pas rester là...
Se préparer à sortir...
Viiiiiteeeee....

Je trépigne sur place.
On va déjà le désinfecter, et ensuite on sort de là plus vite que la musique !

- Quelqu'un a du désinfect...

Mais...J'en ai, moi !
Enfin, j'ai du whisky.
Le flacon de Trapp, je l'avais ramassé.
Je plonge la main dans ma poche, faites que je l'ai, qu'il ne se soit pas cassé dans ma chute...

Ma main rencontre le verre froid.
Ouf.
Intact.

J'extirpe non sans difficultés le flacon de ma robe et m'agenouille auprès de Trapp. Un kleenex est collé à la bouteille. je me demande ce qu'il fout là, d'ailleurs.
On y voit comme dans un four, ici...
Heureusement que tu es évanoui...Ca risque de picoter.

Tout d'abord, j'enlève ce foutu poison verdâtre à l'aide du mouchoir.
Aussitôt, celui-ci se consume et se recouvre de cloques puantes.

- Putain de saloperie !

Je jette le tissu brûlé aussi loin que je peux avant qu'il ne me ronge le bout des doigts.
Bon.
Il n'y a plus de poison.
En apparence, du moins.

Je verse un peu de whisky dans le creux de ma main.
Je serre les dents...Ne te réveille pas maintenant...
J'applique le whisky sur sa plaie, décidemment trop moche.

Wow, avec cette dose, elle doit être propre de chez propre, ton épaule !!

- Allez. Je pense que personne n'a de quoi recoudre...On va panser sa blessure.

Je déchire un bout du bas de ma robe, lui en enveloppe l'épaule, fais un noeud, pas trop serré.
Une sale odeur de brûlé se fait sentir.
Il y avait encore du poison dans son épaule !
Mais pas beaucoup apparemment.

J'essaye de ne pas penser qu'à mon avis, le poison est déjà répandu dans ses veines...

- Il faut sortir maintenant. C'est urgent. Vous ne connaissez pas le danger auquel vous vous êtes exposé en pénétrant ici !

L’intérieur de l’îlot…

On observe…

Tien tien... Un livre.

Naufragé Nombre de messages : 179 Age : 44 Date d'inscription : 13/02/2007

Behind me, j'entend que la japan Lady prend les choses en main.

Quoi, du whiski? I could have done aussi bien, hein!

But là, wait a minute, une petite ouverture on the side de la cabane, qui laisse filtrer un rayon de lumière.

Je m'approche, tend the hand. Du tissu! un rideau!
Je le tire, it stays in my hand, arraché.

Enough pour voir une lampe, juste à côté de cette window.
J'ai encore a match?
Sccrraaaaatch.
J'allume la lampe à huile, et la lumière se fait inside, finally.

Ce que je découvre me freezes.
This is no normal cabane de pêcheur, I can tell you!

A table, des instruments, une boule de cristal, un book, something like une machinerie, derrière... All avec un air macabre.

I hear la voix de la japonaise, derrière.

Wait a minute, girl! On devrait attendre here pour avoir le contre-poison du dude, là, no?
And look at that!
Sure, c'est pas normal, but it's not une boule de cristal qui peut hurt us!

Je m'approche de la table, étrangement fasciné.
One foot. Je frappe quelquechose, ça roule, un bruit sec.
I look down...
BLOODY HELL... des crânes... Charming
Je réprime with difficulty un frisson dans le dos.

What is this book? peut-être que ça va nous donner une idea ou est-ce qu'on s'est échoués...

Barely enough de lumière pour déchiffrer.
Something's wrong. Ca ressemble pas à de l'écriture normale ça.
Seems almost écrit à l'envers, I can't make it avec si peu de lumière...

Cette pièce...

Elle m'intrigue.
En même temps qu'elle me fait froid dans le dos.

Tous ces crânes ammoncelés, cete lumière chaude et tamisée, ces couleurs, ces tapis, ces tentures, tout le mystère qui se dégage de cette pièce !!

Et surtout...ce livre.

Un gros grimoire comme je ne pensai n'en voir que dans les films fantastiques.
Un gros livre relié de cuir émeraude, un marque page de soie qui pend entre les pages, des symboles étranges qui ornent le parchemin piqué par le temps...

Je...je me sens bien.
De cette pièce émane une aura rassurante, je l'aime, cet endroit.
Comme un poisson dans l'eau.
Mon élément.

Les rouages momentanément freinés par ce laboratoire hors du temps se remettent en marche.
Kweecly, le gobelin, ne peut pas habiter là.
Lui, il est...différent de cette pièce, je l'ai bien senti.
Il doit vivre dans un fossé, un gouffre ou un marais...
Mais je me sens à l'aise dans cette pièce, et je ne peux pas me sentir bien dans un endroit où habite Kweecly.

Je respire un peu mieux.
Comme dans un rêve, j'avance vers le grimoire.
J'ai l'impression que mes pieds glissent légèrement au-dessus du tapis, comme si je flottait dans les airs.

Je me sens bien...
Vide...
Légère...
J'ai oublié Trapp.
J'ai oublié qu'on me regarde.
Je ne sais plus où je suis.
Je suis trop bien, trop hors du temps et de l'espace pour m'en rappeler.

Le livre m'attire comme un aimant.
Il est là, devant moi, et je le lis.
Facilement, car c'est écrit en japonais.
Cela ne me surprends pas, d'ailleurs.
Les surprises ne peuvent pas m'atteindre là où je suis.

Mes yeux sont soudain attirés par quelques symboles, griffonés au bas d'une page, comme si on les avait écrits machinalement, comme lorsqu'on veut faire quelque chose rapidement pour s'en débarrasser.
Je les reconnais, et soudain, je tombe.
Comme dans un gouffre.
Mon esprit divague un moment, je ne sais plus où je suis.

Mes prunelles collées aux signes calligraphiés refusent de s'en détacher.
La sueur coule sur mon front.
Ma respiration s'accélère.

Plus de temps...

Voilà ce que dise les mots.
Comme dans le quotidien livré sur le Pacific Princess.

Plus de temps...
Plus de temps...
Plus de temps...

Il faut que j'arrache ma vue de là-dessus...

Plus de temps...
Plus de temps...
Plus de temps...

Au secours...

Plus de temps...
Plus de temps...
Plus de temps...

Dans un effort de volonté suprême, je recule, me prends les pieds dans le tapis, tombe par terre.
Les mots résonnent encore dans ma tête.

- Plus de temps...Plus de temps...Plus de temps...

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